Duck Luck
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| | | Un rencontre hasardeuse |  |
| | | Auteur | Message |
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Lucile Deysimer
5v
Messages : 97
Date d'inscription : 13/08/2009
Age : 32
Localisation : Londre
 |  Sujet: Un rencontre hasardeuse  Jeu 17 Sep - 17:35 | |
| - Spoiler:
aaaaaaa« Une rencontre hasardeuse » - Alexel J. Kwon et Lucile Deysimer
 __ « Vivre sans amis, c'est mourir sans témoin. » On dit souvent que les jours passent et se ressemblent tous. Ce qui, de toute évidence, n'est pas totalement faux, puisque nous nous levons chaque jours a même heure, pour aller au mêmes endroits, voir les même personnes, aller aux même cours, avec les même profs, dans les même salle.. Bref. Toujours les même inlassables rituels. Mais on dit aussi, de part la même contradiction qu'il nous plait de dire que « les contraires s'attirent» ou que « qui se ressemble s'assemblent », que les jours passent mais ne se ressemblent pas. Ce qui, de toute évidence, n'est pas faux non plus, puisque nous ne sommes pas dans le même état, d'humeur différentes, prête a parler de telle ou telle manière, a tel ou tel personne, apprendre de nouvelles choses en classe, écouter le professeur dire un nouveau cour... Tout diffère enfaite de la perception des gens et du sens qu'ils veulent donner a leur journée. Car il est vrai que nous nous levons parfois le matin d'une humeur maussade avec la très net impression de refaire toujours inlassablement les même gestes et actions ; on en a marre de parler au même amis, d'aller au même cour, âpres s'être lever, puis habillé, puis brossé les dent.. Mais on accepte cette fatalité, et on continu. Continuellement, sans se laisser le choix éventuel de faire autre chose. Puis des matins, on se lève, et l'on se dit « Tient! Et si enfaite tout pouvait changer ?! » On se rend compte que finalement, chaque jour est une nouvelle histoire a écrire, et que nous seul avions le stylo en main, car rien n'était déjà écrit a l'avance. Oui, l'homme avait souvent tendance a laisser la fatalité décider a sa place, sans prendre le temps de réfléchir a que faire pour le changer. Et ce que Lucile avait décider de changer en elle aujourd'hui. Marre de se lever a la même heure? Et bah on va se lever plus tard! Marre des même cours? Pourquoi y aller dans ce cas! Marre des même amis? Pourquoi ne pas s'en faire de nouveaux? Nous étions jeudi après midi, et la demoiselle était en train de refaire le monde ; car pour une fois, elle s'était levée d'excellente humeur ce matin, et avait envie que rien ne vienne gâcher sa merveilleuse journée. C'est pour quoi elle avait commencée par rendormir avec le son du réveil, et s'était donc levée a 12h (Bon, il est vrai qu'elle avait bien songé au fait que cela n'allait peu être pas être particulièrement bien vu par ces professeur mais elle jugea que devoir manger une côte de bœuf avec des haricots verts pour le petit déjeuné était une punition exemplaire.) puis continua sa journée par une promenade dans le parc en compagnie de sa chatte Lou.
Elle déambula longuement en silence, perdue dans ses pensées, sans même faire attention a l'endroit où ses pas la menait, se qui lui arrivait plutôt fréquemment. Puis, arrivée au pied du lac, elle s'assit devant cette grande étendue d'eau, et se replongea dans ses songes en réfléchissant à ce qu'elle voulait encore changer de ses habitudes. Se lever plus tard, se passer de cours, ça c'était fait. Mais en se qui concernait les amis.. Eva, Nemesys, Camélia, Dhani, Caleb... Toujours les même, avec les même sujets de conversations, les même soirée, les même moments, et bien qu'elle les appréciait toujours beaucoup, elle avait envie de nouveauté, de voir de nouvelles têtes, pour parler d'autre choses ; Mais elle n'avait pas encore parlée a une seule personne aujourd'hui, il était donc difficilement concevable qu'elle est pue faire de nouvelles rencontres. Elle scruta donc les alentours d'un œil observateur, mais comme elle aurait pu s'y attendre, il n'y avait personne un jeudi après midi pour trainer dans un coin aussi reculé de Poudlard a une heure ou tout le monde est en cours. Déçue, elle se leva d'un air déterminé.
JUNK – Vient Lou, allons voir ailleurs! Puisque les amis ne viennent pas a nous, nous allons venir aux amis! Allez suis moi. »
Et se fut donc suivie de son fidèle compagnon que Lucile quitta les bords du lac pour se rapprocher un peu plus de Poudlard. Un pas rapide, elle s'avança en direction de la cabane d'Hagrid, lequel semblait être en train de donner un cour. Curieuse, elle se rapprocha, et devina qu'il s'agissait d'une classe de Blaireaux en train d'étudier les Scrout a Pétard, cette si douce et merveilleusement délicate créature. Elle se souvenait bien les avoir étudié elle aussi l'année passée ; mais si cette étude fut plutôt brève puisqu'elle jugea bon de sécher tous les cours concernant cet horrible créature après que celle ci lui est mordu la jambe lors de la deuxième approche. Prudente, elle veilla donc a ne pas trop se rapprocher de l'attroupement, et songeait même a s'en eloigner lorsqu'une voix sourde l'interpella.
MAGNOLIA – Psss, Lucile! Hey! Ca va? Qu'est ce que tu fais ici?
JUNK – Bah.. Tranquille, Je me ballade. Marre des cours. Et toi, pas encore morte?
MAGNOLIA – Euh non pas encore mais – AIE! ù@$£-€^ù de Bestiole! Je...
Lucile, qui avait profitée de l'attaque soudaine de l'animal, était désormais trop loin pour entendre la suite. Pas qu'elle n'avait pas envie de discuter avec Magnolia, car elle était de celle avait qui on a toujours envie de discuter, mais d'une, elle était en cour, et le professeur qui s'occupait d'elle allait rapidement se demander ce que faisait une élève de Serpentard a cette heure dans le parc, et de deux, elle détestait vraiment ses animaux; surtout qu'a en juger par l'état de la robe de sorcière de Magnolia, celui dont la jeune fille s'occupait de devait pas être des plus sympathique. Mais ou aller maintenant, où trouver a se faire de nouveaux amis un jeudi après midi? Décidément, sa journée n'allait finalement pas être si parfaite que ça si ça continuait, et histoire d'arranger un peu ça, elle se roula un joint, tout en continuant a marcher sans regarder le paysage autour d'elle. Elle fuma, ferma les yeux, pour mieux apprécier la fumée qui lui montait en cerveau en lui bousillant quelques connections neuronales, et la souffla paisiblement dans l'air d'été. Elle continua, s'évada progressivement, et se mit a penser, que dans son monde où régnait la magie, il aurait fallu un sort pour s'attirer des amis. Malheureusement, ses choses la étaient livrées au hasard, et elle se surprit alors a prier le hasard pour qu'il lui fasse rencontrer quelqu'un. Soudain, alors que ses pensées étaient, avouons le, des plus absurde (vous priez souvent le hasard vous?), Lou miaula, et elle rentra brusquement dans quelque chose de dur, qui se mit alors a bouger. Le hasard l'avait il écouté? Une chose était sure, si c'était ça que lui avait envoyé le hasard, ils ne devaient alors pas avoir la même conception dum mot « ami », car elle n'avait jamais envisagée de se lier d'amitié avec un arbre qui vous ru de coup, habituellement nommé « saule cogneur ». Elle hurla, prise au piège.
Mais il ne faut jamais sous estimer le hasard. Il sait ce qu'il fait. | |
|  | | Alexel J. Kwon
4s
Messages : 77
Date d'inscription : 10/09/2009
Age : 31
| | Sujet: Re: Un rencontre hasardeuse Mar 22 Sep - 16:42 | |
| Allez savoir pourquoi il se retrouvait dehors à cette heure-ci? Il n'était pas spécialement tôt, ni spécialement tard... Il était juste l'heure d'être en cours. Le serdaigle qu'il était aurait du se montrer assidu, mais il n'aimait pas les cours de métamorphose en binôme. Son camarade était toujours nul et tentait pourtant de le ridiculiser. Ce qu'il réussissait généralement à cause de ses sorts ratés qui faisaient parfois pousser une oreille en plus, lui rendait les cheveux oranges, lui ajoutait une barbe... Si Alexel était d'un naturel agréable et peu belliqueux, fuir était parfois la meilleur solution qui se proposait à lui.
Il fuyait donc le cours de métamorphose, sachant pourtant que cela ne ferait que lui attirer un sermon de cette chère Mc Gonagall... Enfin, il s'y habituait avec le temps, et enlever ainsi quelques point à sa maison ne l'inquiétait pas trop. Qu'il leur en fasse perdre ou qu'il leur en rapporte, cela revenait toujours au même : ils ne l'aimaient pas. Et tant mieux d'ailleurs. Il avait déjà suffisamment d'amis comme ça à son gout. Il n'aimait pas particulièrement les autres, n'était pas habitué à être proche d'eux... Et il vivait très bien ainsi. Bref.
Il se retrouvait dans le parc donc, il ne faisait pas spécialement beau, mais il ne pleuvait pas non plus. Un temps parfait pour ce mois de septembre, un temps qu'il appréciait avec plaisir. Il se décida à se promener dans le parc, il n'y avait de toute façon personne pour l'y embêter, du moins en principe. Il vit cependant une demoiselle passer non loin de lui sans le voir. Son chat courant près d'elle, il la suivit des yeux sans un mot. Une serpentard s'il ne se trompait pas... Et il savait bien qu'il ne se trompait jamais, habitué à observer les autres comme il l'était, il connaissait le visage de la majeure partie des élèves de ce château. Il se passa une main dans la tignasse blonde tout en fixant la demoiselle. Celle-ci s'affaira brièvement près d'un arbre... Alex fronça les sourcils. Qu'est-ce qu'elle faisait là toute seule... Ça allait devenir dangereux si elle continuait à reculer.
Est-ce son côté gentleman qui le fit sortir de sa torpeur pour se précipiter vers la jeune fille? Peut-être. Un sursaut de gentillesse comme toujours. Il ne pouvait pas laisser un aussi joli visage se faire abîmer! Il courut donc vers elle avant même qu'elle n'eut réalisé la présence de l'arbre, avant même que celui-ci ne manifeste sa violence. Aussi, quand il commença à remuer, et qu'elle commença à hurler, il était déjà près d'elle. Il s'arrêta brusquement ne sachant pas trop comment remédier à ça, sa baguette ne lui serait surement pas d'une grande aide, et il ne voulait pas la casser... Alors qu'il l'avait sortie, il la remis dans sa veste tout en posant un pied sur les racines de l'arbre. Celui-ci sentant alors sa présence décida de se rabattre sur lui, mais le malin Piaf esquiva le coup pour plonger vers la serpentard qu'il envoya plus loin. Ses bras de batteur possédaient une certaine force et il espéra ne pas lui avoir fait mal. Il n'eut pas vraiment le temps de s'en inquiéter plus longtemps qu'il était à son tour prisonnier de l'arbre. Celui-ci remua ses branches un bon moment dans tous les sens. Puis il l'envoya plus loin, d'un coup dans le ventre.
Il atterrissait bientôt non loin de la jolie blonde, le souffle coupé, les pommettes bleuies de coups, la lèvre un peu ouverte, et d'autres contusions non visibles sur le reste du corps. Il tenta de se redresser pour adresser un gentil sourire à la demoiselle, mais il vit bientôt arriver derrière elle une meute d'abrutis qu'il connaissait bien. Quelques serpentards qui, respectant leur réputation se montrait rebelles et n'allaient pas en cours. Des serpentards qu'il connaissait bien pour les avoir subis à l'occasion... Mais cette fois-ci, ils venaient pour Lucile, surement la connaissaient-ils. Enfin, qu'ils viennent pour la demoiselle n'avait rien de rassurant, car au vu du regard qu'ils lui lançaient, Alex se doutait qu'il trouveraient bien là une occasion de lui taper un peu sur la figure.
Ses bras lâchèrent alors sous le poids de son corps. Il n'avait plus envie de se lever d'un coup. Il resta donc allongé sur le dos, attendant que les choses se passent. Il fixait le ciel en priant pour que la demoiselle envoie balader cette bande de vipère et qu'il puisse un peu respirer. Il s'était pris assez de coups pour la journée avec cette rencontre du saule cogneur. | |
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